Bonjour à tous,

Je m’appelle Drew Baylor (Orlando Bloom) et je suis en train de vivre ce que l’on pourrait appeler un véritable fiasco. Pas un simple échec mais bel et bien un fiasco, ne vous inquiétez pas tout va bien !

J’ai mis au point une chaussure qui m’a demandé 8 ans de travail, 8 ans de ma vie et voilà que ma société s’apprête à annoncer des pertes records proches du milliard de dollars ! En rentrant à la maison, j’étais sur le point de mettre un terme à tous mes soucis mais voilà que j’apprends une autre mauvaise nouvelle, mon père est mort.

En me rendant à Elisabethtown dans le Kentucky pour m’occuper de sa crémation, je croise la route d’une certaine Claire Colburn (Kirsten Dunst) ; une rencontre capitale !

En Résumé : Ahlala Rencontres à Elisabethtown, voilà un joli titre et c’est ce dont j’aurais du me contenter plutôt que de m’ennuyer pendant près de 2 heures. Certes Kirsten Dunst reste toujours aussi charmante et Orlando est quelqu’un que j’apprécie mais ce n’est pas suffisant pour rendre le film digeste. Linéaire au possible, la seule rencontre que vous pourrez effectuer avec Rencontres à Elisabethtown c’est avec votre oreiller.

Autriche, fin du 18^ème siècle. Antoinette (Kirsten Dunst) est sur le point de quitter sa famille et son pays pour rejoindre la France où elle deviendra la dauphine. A peine âgée de 14 ans et demi, elle a été promise à Louis-Auguste (Jason Schwartzman) et tous deux sont destinés à régner prochainement sur le pays. Son arrivée à la cour de Versailles avive les ragots et les jalousies, elle qui a un visage si angélique dérange par ses manières pleines de spontanéité. Et puis une autre difficulté se dresse, il faut offrir un héritier au royaume ; tache difficile quand son époux prend à peine le temps de la regarder.

Ah Marie-Antoinette ou tout simplement comment le cinéma peut nous donner envie de se replonger dans les ouvrages d’histoire ! Sofia Coppola apporte sans aucun doute un vent de fraicheur à ce personnage illustre mais aussi dans le panorama des films historiques avec ce splendide spectacle illustré par les magnifiques costumes et le château de Versailles plus resplendissant que jamais. On peut être amené à se dire qu’il y a quelques longueurs mais à chaque apparition de Kirsten Dunst…on en redemande !